David
Olney &
Sergio Webb
avec Danny Schmidt
La Pomme d'Eve, 9 novembre 2005
Danny
Schmidt
God's love of man * Mockingbird (Tom House) * This too shall pass *
Girlwhiskey * Leaves are burning * Happy all the Time * Blue Railroad
train * Sunny Days * Stained Glass
David
Olney and Sergio Webb
Illegal Cargo * If my eyes were blind * Soldier of Misfortune * Lee's Highway/Bamaloo
* Upside Down * Wait Here for the Cops * Speak Memory * If I were you * Old
Barbed Wire (trad.)/1917 * Rex's Blues (Townes van Zandt) * New York
Mining Disaster 1941 (Gibb) * Roses * Big River (Johnny Cash)
Dillinger * God-Shaped Hole * Jerusalem Tomorrow * Chained and Bound to the Wheel * Sea Cruise (Frankie Ford)/Way I Am * Vincent's Blues * Birds
Encores: Women across the River * Deeper Well/Who do you love/Sally goes round the Roses/Deeper Well * Sunset on Sunset Boulevard
Danny Schmidt en première partie fut pour moi une belle découverte, un monde, un univers que je continue d'explorer ce matin à l'écoute des ses disques. Quant à Davis Olney, il m'a paru en forme, à l'aise, content voire ravi d'être sur la scène de "La Pomme d'Ève" qu'il avait foulé un an auparavant. Deux sets de très belle facture où il alterne émotion, rentre-dedans et quelques histoires. Et puis une belle complicité avec Sergio Webb qui l'accompagne aux guitares et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'est pas manchot..... c'était bien!!!! Merci et à bientôt. Charlie
Non, mais quelle soirée !Danny Schmidt, vraiment original, "a natural". Sur scène son univers très personnel mais parfaitement réalisé prend une autre dimension; et quelle main droite ! Sergio Webb, toujours pertinent, souvent surprenant, des arrangements un peu à la Joe Ely. David Olney, armé d'une intelligence féroce, toujours pince sans rire (voire sans pleurer). C'était grandiose. A mettre en tête d'affiche du "Best Of de la Pomme d'Eve", Simon.
Hervé tu fais dans le culturel, la promotion des artistes méconnus, c'est un apostolat face à notre passivité de gens blasés qui ont tout à porté de la main, surtout les Parisiens, mais on a besoin de gens comme vous les Karel et autres comme ceux qui continuent à présenter des films d'art et d'essai contre les multisalles. Halte à la pensée unique et Keep on. Christian